Ma toute première partie de DBA

NdlR : Dernier témoignage d’une série, vous pourrez trouver le premier ICI et le second LA. L’objectif était de donner la parole à des (trois) personnes différentes ayant fait connaissance avec le jeu dans les mêmes conditions : projetées quasi « manu-militari » dans le jeu à travers une soirée dédiée sous forme de tournoi interne sans avoir jamais entendu parler des règles aupréalable. Pour faire ces reportages, les consignes de rédaction furent simples : Présenter son ressenti, ne pas lire les articles des autres avant d’avoir rédigé le sien et les retouches faites par la rédaction du blog ne concerneront que : l’orthographe et la grammaire, le sens et la mise en page pour que cela soit harmonisé avec les autres pages. Merci à eux de s’être prêtés au jeu de la spontanéité. Et si leurs retours se ressemblent c’est, soit que nous avons tout bidouillé, soit que… comme ils le disent. Et retournez donc les lire !

Babar, notre héros de dessin animé préféré à tous les deux.

Babar, notre héros de dessin animé préféré à tous les deux.

J’ai été très gentiment convié à jouer au fameux jeu historique lors d’un tournoi DBA le vendredi 19 février 2016 à l’association Orléans Wargames.

J’ai débuté avec une armée carthaginoise contre une armée indienne.

Une initiation mené par Cassandre, l’un des grands fan de ce jeu , m’expliquant rapidement le mécanisme du jeu, les types d’unités etc….

Les deux armées se font face à face et, au fur et à mesure, c’est le choc.
Chance aux dés de mon coté / malchance aux dés du coté de mon adversaire (c’est selon), sans aucun doute cela m’a permis d’arracher la victoire.

Ces gens de Syracuse doivent être las des sièges succéssifs des romains et des carthaginois : ils leur reste à peine de la peau sur les os...

Ces gens de Syracuse doivent être las des sièges successifs des romains et des carthaginois : ils leur reste à peine de la peau sur les os…

Fini l’initiation, je joue contre des « vétérans » du jeu et je me prend méchamment deux roustes.

Une contre une armée de Syracuse :

Même chanson, les deux armées – face à face – avancent tout doucement mais ce sont les détachements de cavalerie des deux cotés qui se battent avec acharnement, ce qui me vaut hélas pas mal de pertes.

Une autre contre une armée Italique :

Mais où sont ces satanées barges de débarquement...

Mais où sont passées ces satanées barges…

La partie a été pliée pour moi en deux-trois mouvements, une erreur a été commise lors du déploiement de mon armée divisée en deux par la rivière (ne me demandez pas pourquoi, je suis tête en l’air. Ou c’est la fatigue. Ou les deux).

Cette « superbe » erreur est exploitée bien évidemment par mon adversaire qui l’a juste utilisé avec brio : trois unités débarquées de la mer pour casser une à une mes unités d’une mes armées divisées par cette #&%@ de rivière.

Mes premières impressions :
Bon petit jeu stratégique, petit car nul besoin de 50.000 figurines pour aligner une armée ; ça prend moins de place sur la table ; le hasard influe peu sur le jeu. Certainement moins cher [qu’un autre jeu de figurines]. Quoique seulement si on ne veut pas tomber dans la maladie du collectionneur-fan-boy.

Fissoul BenRix,
Le 14 avril 2016.

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