Orléans Wargames, un tournoi, une calotte !
Vendredi dernier, c’était le tournoi trimestriel d’Orléans Wargames.
Cela faisait 4 mois que j’étais réfugié au fond de ma grotte. Les prochaines sorties DBA prennent du retard, rien ne va comme je veux.
C’est Welnin qui était venu me rappeler cette date. J’avais complètement oublié. C’est sur, je n’y serais pas allé sinon. La période des fêtes fut difficile. Très. Très, très….
Bon, allons à l’essentiel. Trois parties, deux défaites et dernier au classement sur une méthode de départage que j’ai moi-même établie.
Voilà, une déculottée.
Bon, ma première partie était prémonitoire. Placé comme une buse, renvoyé sur le mauvais côté de la carte car j’avais oublié que l’attaquant choisissait son bord d’attaque et une série de dé calamiteuse (dans l’ordre : 1 – 1 – 1 – 2 – 1 ; voilà pour les 5 premiers tours).
De toute façon, les bons généraux font 6 au dé. Moi, j’ai simplement mis 6 tours pour y arriver au total. J’ai toujours été un peu lent de toute façon…
Ce qui est bien, c’est les copains qui vous accueillent comme si vous étiez parti chercher une bière il y a 5 minutes. Ce qu’il y a de bien, c’est les copains qui se marrent lorsqu’ils attendent les fiches de scores que vous avez oubliées. Ce qu’il y a de bien, c’est les copains qui ne vous en veulent pas parce que vous êtes à la bourre, le dernier à arriver.
Ce qu’il y a de vraiment bien, c’est qu’on joue de l’histo’ mais que le rire et les plaisanteries accompagnent le plaisir de se retrouver.
Et après 4 mois à enchaîner les problèmes, ce tournoi, il était bien. J’ai fini dernier et il était bien.
Que peut-on dire de mieux d’un jeu ?
Cassandre,
Le 18 février 2018
je vais paraphraser Le Sieur Rives : Le wargame, c’est l’histoire d’un jeu avec des copains autour et quand le jeu est fini il reste les copains. 😉